Jeune désir

Mise en ligne le 10.15.2014

Il était tard un samedi soir lorsque j’ai rencontré cette jeune et jolie créature. J’avais récemment déménagé dans un nouvel immeuble et je m’habituais au quartier qui semblait majoritairement habité par de vieilles personnes et des couples mariés avec de jeunes enfants. Cela changeait indubitablement de mon précédent logement, où les fêtes continuaient tard le soir et où des inconnus agissaient de façon illicite dans les couloirs peu éclairés. C’était sûrement la seule qui allait me manquer, étant donné que j’aimais ce style de vie alternatif. J’aimais les fêtes et les péchés qui s’y déroulaient et j’avais toujours hâte de trouver un copain disposé, ce que j’arrivais toujours à faire. Je préférais les jeunes; ils se ventaient de leurs tendances sexuelles et disposaient de corps forts et ciselés. Le dédain de leur jeunesse était tellement excitant. J’écoutais leurs lèvres murmurer leurs petits plaisir… les femmes magnifiques avec qui ils avaient été… les souvenirs de cuite ayant conduit à du sexe avec des inconnues rencontrées dans des bars… et leur « connaissance » concernant la façon de vraiment faire crier une femme de désir. Mais la partie que j’aimais le plus c’était quand je les démolissais dans mes draps, les laissant avec une cicatrice permanente dans leurs esprits impressionnables.

Au moment où je posai les yeux sur lui, je savais que ce serait le prochain. Il approchait de la trentaine, avait des cheveux noirs, des yeux noirs et avait des traits saisissants. Habillé d’un costume noir, il avait l’air de venir d’un des clubs chics de la ville. Rien qu’à la façon dont il se retourna et me sourit subtilement, on pouvait dire qu’il savait à quel point il était attirant. C’était un jeune homme qui avait sans doute fréquenté des centaines de filles, qui se seraient battues pour son affection et comméraient sur la chance qu’elles avaient eu de coucher avec lui. Une aura de douce sensualité l’entourait. Je le regardai tourner la clé dans la serrure et entrer dans son appartement, l’esprit filant à toute allure.

Après cette rencontre, nous nous sommes croisés quelques fois dans le hall d’entrée et nous avons parlé un petit peu. Rapidement, nous en avons appris de plus en plus sur l’autre. Comme on pouvait s’y attendre, il avait une personnalité qui collait bien avec cette beauté ; une sorte d’arrogance charmante, des blagues géniales à propos desquelles je ne savais pas si je devais rire ou être offensée. Un vrai connard, mais je ne pouvais pas le quitter des yeux. Un mélange enivrant d’intelligence et de passion complétait ce personnage, ce qui m’intriguait. Je comprenais mieux pourquoi tant de femmes étaient tombées entre ses mains. C’était le concept même de la baise avec une personne qu’on déteste. Le mec que toute femme veut rejeter parce qu’il est prétentieux et égoïste. Mais au fond, chaque femme veut être à sa disposition pour son simple plaisir.

Je l’encourageai avec des flirts astucieux pour m’assurer qu’il sache que je n’avais aucunement l’intention ni d’être une bonne fille ni de le laisser me filer entre les doigts, si jamais il était assez courageux pour jouer avec moi. Son jeune corps tendus étalé sur les draps tandis que ma langue dévore son pénis et que des griffures ornent sa peau. Ca allait vraiment être un beau jeu. Un jeu que je connaissais bien… baiser ces beaux jeunes hommes qui ont quelque chose à prouver. Il ne fallu pas longtemps avant que les discussions ne deviennent réalité, et j’étais devant sa porte. Il m’invita à entrer, nous versa deux verres et tenta d’engager la conversation. Mais nous connaissions tous les deux la raison de ma venue cette nuit-là…

Je pris ses mains, le tira vers moi et l’embrassa. Je ne perdis pas de temps à tirer sur les boutons de sa chemise mais les retirai un par un jusqu’à ce qu’elle tombe rapidement de ses épaules. Ma lèvre bougeant toujours furieusement dans sa bouche, je baissai la main pour ouvrir la braguette de son pantalon. Son pénis jaillit de son jean, et je me mis immédiatement à genoux, impatiente de l’avoir dans la bouche. Je ne pouvais attendre plus longtemps pour le goûter. Ma langue glissa lentement sur le bout de son pénis, et je savourai les premières douces gouttes de pré-sperme. Il pencha la tête en arrière et soupira lorsque je pris une partie de plus en plus grosse de son pénis entre mes lèvres. Utilisant le mur comme soutien, l’intensité de ses coups augmenta, jusqu’à ce que j’en sois arrivée à lui faire une gorge profonde. Alors qu’il enroulait fermement mes cheveux autour de son poing, je trempai ses boules de ma salive. Me retirant pour pouvoir les lécher et les sucer, j’enroulai ma langue autour de la base de sa verge pour le narguer. Lorsque je sus qu’il était presque prêt à exploser, j’humidifiai un de mes doigts à l’aide de ma langue puis le lui introduisis profondément dans l’anus. Un grognement primitif s’échappa de sa gorge lorsque je repris son pénis dans la bouche et le laissai donner des coups de reins puissants. Entre son anus qui se serrait autour de mon doigt et sa bite qui défonçait ma gorge, tout ce à quoi je pouvais penser était à quel point il était beau et à quel point j’avais besoin qu’il soit en moi.

Je le relâchai puis lui demandai s’il était prêt pour une bonne baise. Il ne perdit pas de temps à me répondre, mais retira mon haut et mon soutien-gorge et commença à me peloter les seins, en les serrant fort. Sa langue traça des cercles sur ma poitrine avec avidité tandis qu’un de ses mains cherchait à déboutonner mon pantalon. En un mouvement rapide, tous nos vêtements étaient sur le sol et il me poussait vers le lit. Sa brutalité m’excitait, et je pouvais sentir la chaleur de son corps lorsque ses mains agrippèrent mes épaules. Au bord du lit, nous nous fixâmes du regard, puis il plongea ses dents dans mon cou et chercha mon clito du bout des doigts. Il le tordit légèrement et le fit gonfler ; il enfonça ensuite profondément deux doigts dans ma chatte déjà humide. Il me doigta jusqu’à ce que je n’ai les genoux qui tremblent et que je le supplie d’arrêter. Après cette torture délicieuse qui sembla durer des heures, il obtempéra enfin…

Il me fit mettre à quatre pattes et se prépara à entrer en mois, frottant son pénis de haut en bas contre ma chatte dégoulinante. Je criai à chaque fois que sa bite me narguait sans merci, n’introduisant que le bout de son pénis dans mon trou endolori. Ensuite, sans aucun avertissement, il introduisit la totalité des 20 centimètres de cette jeune bite en moi. Je m’avançai alors brusquement et il me tira d’un coup sec par les cheveux, me défonçant encore plus profondément cette fois. Il continua de me baiser, plus fort et plus vite, jusqu’à ce que je puisse à peine reprendre mon souffle. Je gémissais en même temps que ses coups et lui ordonnait de me faire jouir. Juste au moment où je pensais ne plus pouvoir le supporter, il se retira de ma chatte et introduisit cette bite frémissante profondément dans mon anus. J’avançais et reculait le long de sa verge et ses boules claquaient furieusement contre mes fesses. Je glissai alors ma main sous mon corps pour caresser mon clito douloureux et je sentis soudainement la douleur causée par des mains sur la chair à nu.

Était-ce vraiment en train de se produire ? Ce jeune homme abusait-il vraiment de moi de la même façon que je l’avais fait avec tous les autres ? Au jeu du sexe torride et de la douleur, les rôles avaient maintenant changé, puisqu’il continuait de me baiser sans merci. Et j’aimais ça. Il continua de me donner des fessées et je sentis la sueur coulant de son front dégouliner sur mon dos. Sa bite continuait de m’agrandir les trous. Il ne fallu que quelques coups supplémentaires pour que sa bite commence à palpiter et à tout lâcher, me remplissant de son sperme chaud. Je m’effondrai sur le lit, parcourue des dernières vagues du plus intense orgasme que j’avais jamais eu. Je pouvais sentir sa lourde respiration sur ma peau lorsqu’il retira lentement sa bite de mon anus et laissa sa douceur collante dégouliner entre mes cuisses.

Me dominant, il passa la langue sur ma chair tremblante et massa sa bite devenue molle. Je pouvais à peine bouger, mon corps était rouge et je frissonnais de la tête aux pieds. Je me levai lorsqu’il se retira de derrière moi et je notai un sourire diabolique sur son visage. Il me prit puissamment les poignets et les bloqua derrière mon dos, puis il me demanda si c’était ce que j’avais espéré… s’il m’avait baisé de telle sorte à rester gravé comme mon meilleur souvenir de sexe passionné, insignifiant. C’était le cas en effet, pensai-je en trébuchant du lit et en ramassant mes vêtements. Je l’embrassai une fois de plus, m’habillai rapidement et me dirigeai vers la porte…

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